« Nova Vita Jazz » conclut le triptyque romanesque « Artisans cosmiques »


2011 |

 

 

Après « Le testament de Vénus » (Gallimard, 2006) et « Surfaces sensibles » (Gallimard, 2007), « Nova Vita Jazz » conclut le triptyque romanesque « Artisans cosmiques », tissé de trajectoires singulières d'artistes.
Vingt ans après sa création, le saxophoniste Jim Erris est invité à ressusciter le « Vita Nova Jazz Ensemble », avec lequel il a joué durant une décennie sur les scènes du monde entier, et qu'il a dû dissoudre après sa condamnation pour violences conjugales.
La perspective de ce concert anniversaire ramène Jim aux heures les plus troubles de son existence, et l'engage à composer au fil des jours une longue lettre-confession adressée à sa victime.
" Besoin irrépressible de mettre en mots ce morceau de musique en up tempo auquel s'est mise à ressembler mon existence — musique trouée de vide. Et, quelle qu'en soit la raison, il m'est impossible d'écrire le moindre mot qui ne te soit adressé. "
Comme un solo, qui détricoterait une histoire d'amour et qui raconterait l'histoire de la musique.
Sound and fury and night and silence.
L'amour de la musique, la musique de l'amour.
La sérénade, puis l'hymne, puis la tragédie, puis le chaos, puis le désert, la disparition de Béatrice et l'écriture de Vita Nova.

Editions Gallimard, coll. "Blanche"
237p., 19,90€
ISBN 978-2-07-013185-3

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